il n'y rien à y faire
je pense à là-bas
aux pieds
qui touchent le ciel
aux routes
qui défilent dans la nuit
aux virages pris
toujours à pleine vitesse
aux phares
qui se posent sur les vagues
j'y suis encore
dans mes rues
éclairées de pavés
j'y suis encore
dans ces soirs
passés au bar
revoir les piliers accoudés
un peu bourrés
revoir les piliers tombés
face au petit dernier
il n'y a rien à y faire
je ne suis pas là-bas
mais ici c'est toi
alors je ferme les yeux
et puis j'imagine la mer
Mes pages sur balancelle
F * le 6.10.10
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2 commentaires:
"alors je ferme les yeux
et puis j'imagine la mer
pour anesthésier hier"
"pour anesthésier hier" mouais bof bof,dommage ça alourdit la fin de ton texte je trouve
sinon le reste et ben on te retrouve bien et ça suit ce que j'ai lu plus haut ou le contraire 'fin bref ça fait du bien ce soir de venir me poser chez toi...
Tu vas rire mais j'ai failli ne pas la mettre et tu as fini de me convaincre, en effet ça alourdit et c'est surtout assez inutile en fait
Pose toi tant que tu veux, c'est fait pour. Après le déménagement on trouvera peut être un moment pour se poser ailleurs.
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