Les jours de noir
inondent la ville
le froid l'assiège
rue par rue
Se font face
les pas dissonants
des visages inconnus
et leurs regards fuyants
Il n'y a qu'un train
pour faire voyager le soleil
un siège côté fenêtre
je le sais
Rennes pleure faux
il n'y a qu'au troisième étage
de cette rue pavée
qu'une larme sonne juste
Rue des pavés
F * le 2.1.09
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