Le temps prend tout
Nos secondes
filent au vent
et nos rues
courent trop vite
S'accrocher aux rideaux
pour garder le soleil
Je veux
le goût de toucher
la fenêtre ouverte
et son air plus doux
Tu dors
et le sable coule
Demain nous efface déjà
A quand nos ombres paisibles
sans crainte des jours loin
A l'ombre des jours loin
F * le 2.1.09
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