Au seul sacrifice d'un arbre lorsqu'il nous aurait fallu une forêt. Je n'ai qu'un seul regret planté à notre enfance. Celui de n'avoir jamais su douter. De l'avenir qui nous tendait ses bras, sans pour autant nous éloigner. De nos différences, petit chemin de terre hier, une route entre deux mondes à présent.
T'auras jamais idée du mal que t'as pu faire, à nos belles années, à mes yeux de mioche, d'un seul regard inconséquent.
Il aurait sans doute fallu douter
F * le 28.11.09
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2 commentaires:
je comprends ça...il y'a des blessures qui reviennent alors qu'on les croit dissoutes,l'indifférence,on ne s'y habitue jamais je crois,
je sais.
bisous miss
là c'est plutôt une blessure
que je n'avais pas vue venir
vraiment pas
m'enfin un bobo
plus un bobo
pour finir on ne compte plus
et c'est bien mieux comme ça
bisous multi saucisse
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