J'ai pensé à l'océan
que je vais bientôt quitter
Il y a des bras marins
qui m'attendent
là où la mer
n'a même pas échoué son sel
J'ai pensé aux arbres
à nos marches à nu en plein ciel
à portée de nos feuilles
et tout ce qui nous effleure
A nos altitudes sur des rêves écorchés
et toutes les chutes des espérances brisées
comme si nous étions
nos propres ombres
incapables de disparaître
à la lumière
pour y renaître
Il le faudra
un jour
Miroir sans d'eau
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