Le coeur noué à sa main
luit mon complément d'âme,
reflet ruban pris au sien
d'une toile peau sur soie.
Se fait-il à sa voile
ou pendule à son elle,
vole-t-elle ma bécile
quand je neige à son oreille.
Au fil des heures coton
nées d'un octobre rouge,
un violon de grand chemin
s'est posé dans mon cou.
Se peut-il à son bout
y trouver une main...
Les bras sont de belles mers
pour y perdre la vue
et s'éteindre.
Pour une fois
c'était la lune qui nous fixait
de son oeil photographe.
Les étoiles qui manquaient
n'étaient pas dans tes yeux
mais au fond d'une poche,
où s'étreindre.
Et je la tisse de vie
encoeur fébrile
entre ces doigts nuit
aux draps fragiles.
Il est mon autre
à l'épaule blonde,
mon homme habit
à la peau laine.
luit mon complément d'âme,
reflet ruban pris au sien
d'une toile peau sur soie.
Se fait-il à sa voile
ou pendule à son elle,
vole-t-elle ma bécile
quand je neige à son oreille.
Au fil des heures coton
nées d'un octobre rouge,
un violon de grand chemin
s'est posé dans mon cou.
Se peut-il à son bout
y trouver une main...
Les bras sont de belles mers
pour y perdre la vue
et s'éteindre.
Pour une fois
c'était la lune qui nous fixait
de son oeil photographe.
Les étoiles qui manquaient
n'étaient pas dans tes yeux
mais au fond d'une poche,
où s'étreindre.
Et je la tisse de vie
encoeur fébrile
entre ces doigts nuit
aux draps fragiles.
Il est mon autre
à l'épaule blonde,
mon homme habit
à la peau laine.
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